In
situ = dans le tissu
Introduction :
Réseaux de neurones – généralités (neurophysiologie) :
-
Comportement,
-
Mouvement,
-
Sensibilité,
-
Pensée,
-
Connaissance…
De
l’ordre du mètre, de l’individu.
" Dans quelle région ? Dans quelle
structure ?
Þ Techniques macroscopiques (de l’ordre du mm,
voire 100 µm) :
IRM,
TEP, EEG, MEG, …
Þ Etude des structures impliquées et des
circuits et des connexions (qui peuvent être très longues)
Les cellules :
-
Les
neurones Diamètre
moyen : 20 µm, mais il peut être bien plus grand
-
Les
cellules gliales
Neurochimie : Etude
des neurotransmetteurs, des récepteurs…
Neurophysiologie : Etude du fonctionnement normal (du
neurone)
" Aspect temporel
et dynamique.
Questions à se poser devant un
neurone :
-
Son
origine ? (espèce, souche)
-
Sa
localisation à l’intérieur du système nerveux ?
-
Ses
connexions ? (afférences –
efférences)
-
Sa
neurochimie à l’instant de l’étude ?
(faire attention à la chronobiologie)
-
Ses
messagers chimiques ?
-
Ses
récepteurs membranaires ?
-
Les
gènes qu’il exprime ?
Communications inter–neuronales :
" Messagers chimiques intercellulaires.
-
Neurotransmetteurs classiques :
Quelques
critères :
-
Synthèse
neuronale,
-
Libération
Ca2+ dépendante (exocytose dans la
fente synaptique),
-
Présence
d’un récepteur spécifique sur l’élément post–synaptique,
-
Mécanisme
d’inactivation par recapture et dégradation.
Caractéristique :
-
Petite
molécule (soit un acide aminé, soit un dérivé d’acide aminé) produite à grâce
des enzymes de synthèse.
-
Chatécholamine :
l’acide aminé précurseur = Tyrosine
-
Sérotonine :
l’acide aminé précurseur = Tryptophane
Exception :
-
L’acétylcholine =
choline + acétyl_CoA ;
Enzyme : ChAT.
-
Neuropeptides :
Exemples : Il
en existe plus de 60.
-
VIP (~ 40 aa),
-
SP
= substance P (10 aa),
-
ENK
= Enképhalique (5 aa),
-
NPY (36 aa),
-
THR (3 aa) : le plus petit.
= Séquence
caractéristique d’acides aminés (= molécules plus grande que les
neurtransmetteurs classiques)
" Présence également de récepteur.
Ils se
localisent dans l’axone, contenus dans des vésicules à cœur dense qui viennent
du soma et dérivent de l’expression d’un gène.
L’entrée dans
une vésicule de l’acétylcholine par des enzymes dont le mécanisme est similaire
à celui des protéines de recapture.
Enzymes : VGLUT, VAchT.
-
Hormones :
-
Thyroïdiennes
(T3, T4),
-
Surrénaliennes
(cortisol, aldostérone),
-
Gonadiques,
-
Pancréatiques…
Problème
des hormones : passage de la
barrière hémato–encéphalique " Dérivé du cholestérol
-
Autres messagers chimiques :
-
Cytokinine,
-
Anandamide
(ligand endogène du cannabis)
-
Prostaglandine,
-
D_Sérine…
Chaque
neurotransmetteur (neurotransmetteur classique, neuropeptide, hormone) présente
1 voire (comme le plus souvent) 2 à plus de 14 récepteurs.
Etude de réseaux :
Elle
se fait via la microscopie optique ou électronique.
-
Marquage
au DAPI = intercalant de l’ADN
-
Immunomarquage
anti_tPA…
L’hippocampe
(impliqué dans la mémoire) est subdivisé en différentes régions : CA1,
CA2, CA4, Gyrus denté (CA = Corne d’Amon)
-
Considérations
bioéthiques : justification de la manipulation sur un animal + anesthésie
avant l’euthanasie.
-
Stéréotaxie :
modèles sur des atlas stéréotaxiques " Coordonnées
spatiales d’une structure.
Soit sur un
tissu frais " l’échantillon
peut être congelé (cellules mortes) ou non (cellules vivantes)
Soit sur un
tissu fixé " mode de
fixation et méthode de coupe adaptés aux techniques envisagées.
-
Anesthésie
adaptée à la manipulation, à la problématique. Souvent en bloquant les
récepteurs (des acides aminés
excitateurs, par exemple),
-
Euthanasie,
-
Dissection.
" Survie des
neurones. On peut soit isoler des
cellules (mais on ne s’y intéresse pas), soit des tranches maintenues en
survie.
Une machine
effectue des coupes d’ ~1 mm d’épaisseur " Tranches
reproductibles.
Il permet des
coupes de 30 à 20 µm (en général 50 µm) Il consiste en une lame de rasoir qui
avance sur le tissu (par vibration) et une cuve emplie de milieu de culture ou
de tampon physiologique.
Le cerveau est tenu par de la glue sur
un porte–objet.
Utilisation du vibratome :
Sur tissu frais
(en survie) :
-
Electrophysiologie,
-
Physiologie
(action de substances pharmacologiques et dosages dans le milieu d’incubation
des réactions neuronales),
-
Etude
d’activités enzymatiques (enzymes présentes dans le tissu) = histo–enzymologie,
-
Traçage
des voies « courtes » par injection maîtrisée du traceur.
Sur tissu fixés :
-
Immunohistologie
sur des coupes épaisses,
-
Immunocytologie
(= technique avant inclusion)
Inconvénients du vibratome :
-
Les
coupes sont récoltées et manipulées avec des pinceaux (peu pratique et
difficile à étaler sur des lames)
" Mort des cellules
Pour une
congélation efficace : dépôt d’une poudre de CO2. A –80°C, le CO2 sous forme de
neige carbonique. Au contact du tissu, le CO2 se réchauffe et
redevient en gaz (état neutre) " pas de contamination.
Les coupes de tissu au cryostat (=
microtome à congélation) sont placées à ~ –20°C.
L’épaisseur va de 4 à 50 µm (en général : 10 µm)
Les coupes sont
collectées sur des lames (cf. TP) soit des lames classiques, soit des lames
permettant la microdissection au laser. Ces dernières ont un revêtement
particulier permettant une découpe ultérieure extrêmement précise de tissu
frais. " Dosages de
protéines, d’ARNm, …
Fixer un tissu = « Immobiliser » les cellules dans
l’état où elles sont.
=
Figer, mais tout en gardant l’intégrité du tissu et des cellules.
" Rester le plus
proche possible de l’état physiologique des cellules.
Il existe de
nombreux agents fixateurs, pour chacun, des avantages et des inconvénients.
Exemple : glutaraldéhyde, formaldéhyde, formol (= fixateur à la base de l’agent fixateur
formaldéhyde), acide picrique, tétroxyde d’osmonium, acétone, froid (plus trop
utilisé)
-
Dissection,
-
Immersion
dans un fixateur (volume de fixateur 500 fois de volume de la pièce à
fixer ; mais en réalité on n’en met que 100 voire 50 fois)
-
Durée
d’immersion à optimiser (faire
attention : plus on fait agir longtemps, plus on modifie les molécules
tissulaires)
Inconvénient majeur : Fixation inhomogène
La périphérie du
tissu sera toujours plus fixée que le centre. Les agents fixateurs
interagissent avec les 1ères molécules qu’ils rencontrent. Ils ne diffusent pas
toujours facilement. C’est très important pour d’éventuelles interactions avec
des antigènes (immunohistologie ou cytologie)
Nécessité d’une fixation par
immersion :
Les animaux sont
traités et on veut obtenir 2 types de données (données microscopiques + données
biochimiques : mise en évidence d’activités enzymatiques, dosages…)
" Dissection et utilisation d’un hémisphère
cérébral pour chaque recherche.
Þ Diminution par 2 du nombre d’animaux
utilisés.
Cette économie
n’est pas possible dans le cas d’une étude portant sur un processus
physiologique latéralisé. Souvent, avant la dissection, on effectue une
perfusion avec du liquide physiologique hépariné à la place du sang. L’héparine
est un anticoagulant.
Vascularisation pulmonaire et vascularisation
systématique
-
Incision
au niveau de l’oreillette gauche (à la pointe du cœur) et injection du liquide,
-
Autre
incision au niveau de l’oreillette droite (au retour veineux) pour éviter une
surpression.
" Lavage de tout le système vasculaire.
j Anestésie +
pneumothorax (retrait des côtes) " à faire
rapidement pour éviter un arrêt cardiaque
k Injection de
NaCl (liquide physiologique) hépariné, puis fixateurpar une pompe
péristaltique.
Les volumes à
perfuser sont à adapter en fonction de l’espèce :
-
Souris :
10–15 mL de NaCl puis 50–100 mL de fixateur ;
-
Rat :
20–30 mL de NaCl puis 100–300 mL de fixateur.
D Il faut toujours vérifier la
pression sanguine aortique et le débit sanguin (souris : 14–15
mL/min ; rat : 80–90 mL/min)
Intérêt :
Le NaCl hépariné
lave le système vasculaire. La fixation par immersion permet une dissection
plus précise.
Le fixateur
permet une fixation homogène.
Limite : Le respect du débit et de la pression
aortique.
Il existe de
plus de 25 fixateurs dans la littérature, néanmoins il y en a quelques uns qui
sont récurrents.
-
Pour
la microscopie optique : PFA = 4% de formaldéhyde dans un tampon
phosphate.
En
solution : Formaldéhyde ; En
poudre : Paraformaldéhyde %
en poids/volume = 4g/100mL
-
Pour
la microscopie électronique : idem + ajout extemporanément de
glutaraldéhyde (0,1 à 5%)
La fonction
aldéhyde agit avec une fonction NH2. Dans l’exemple
d’une détection de protéine par anticorps, s’il y a trop de glutaraldéhyde, la
fixation de la protéine est trop importante et l’anticorps ne peut plus se
fixer dessus.
Le
glutaraldéhyde est un fixateur puissant. Il n’est utilisé qu’en microscopie
électronique car celle–ci consiste en un faisceau d’électron, on a besoin que
le tissu soit extrêmement bien fixé.
Soit 2 tampons phosphates qui respectent
l’osmolarité et le pH :
" Calcul d’osmolarité en è (=PO4) et en Na+
-
Na2 H PO4 ; 2H2O PM=176 "
" 13,35/176 =
0,075mol de Na2 H PO4 Þ Autant de è et 2 fois plus
de Na+
-
Na H2 PO4 ; 2H2O PM=156 "
" 3,9/156 = 0,025mol
de Na2 H PO4 Þ Autant de è et autant de Na+
" Réaliser le même tampon à partir de tampon
phosphate à pH7,5 :
-
Na2 H PO4 ; 2H2O PM=142 " ? g.L–1
" 0,075 x 142 =
-
Na H2 PO4 ; 2H2O PM=120 " ? g.L–1
" 0,025/120 =
-
Immunohistologie
(IHC),
-
Immunocytologie
(ICC),
-
Hybridation
in situ (His),
-
Traçage
de voies nerveuses,
-
Histo–enzymologie
(HE) : uniquement pour certaines enzymes car d’autres ne supportent pas la
fixation,
-
Coloration.
En général, il y
a l’inclusion de tissu dans le milieu d’enrobage (exemple : paraffine)
-
Fixation
(perfusion ou immersion),
-
Déshydratation
par 3 bains à eau distillée, 3 autres à l’alcool 70%, 3 autres à l’alcool 80%,
3 autres à l’alcool 90%, 3 autres à l’alcool 95%, nombreux autres à l’alcool
absolu.
La paraffine est
hydrophobe : il faut une déshydratation totale.
-
Xylème
ou Toluène (attention : produits cancérigènes)
-
Inclusion
dans la paraffine chauffée (état liquide à
-
Coupes
au microtome récoltées et collées sur lames.
-
Déparaffinage
et réhydratation par des traitements ultérieurs :
-
Xylène
(ou toluène),
-
Gradient
d’alcool inversé à déshydratation,
-
Rinçage
par plusieurs bains de liquide physiologique.
Coupe de 4 µm à
40 µm
-
Fixation,
-
Rinçage
dans le tampon cryoprotecteur (tampon phosphate à 20% de sucrose)
" Tissu imprégné
de sucrose pour éviter la formation de cristaux de glace lors de la congélation.
-
Inclusion
dans le milieu d’enrobage (= tissu TEK) état liquide à température ambiante,
-
Congélation
rapide à l’azote liquide et conservation du bloc à –80°C (possible pendant des
années)
-
Coupes
au cryostat récoltées et collées sur des lames traitées (gélatinées ou
syalinisées) conservées à –80°C
-
Réhydratation
+ rinçages dans un tampon d’incubation (tissu TEK soluble dans l’eau.
-
Le
tissu est obligatoirement fixé
(formaldéhyde + glutaraldéhyde),
-
Choix
de la zone d’intérêt,
-
Post–fixation
dans du tétroxyde d’osmonium (1 à 5% dans le tampon)
2 techniques différentes :
j
~
Déshydratation,
~
Inclusion
dans un mélange d’éponge et d’araklite,
~
Coupes
à l’ultramicrotome récoltées sur des grilles,
k
~
Rinçage
des corps dans un tampon cryoscopique,
~
Inclusion
dans un mélange hydrophile,
~
Coupes
par ultracryotomie collées sur une grille (~
-
Coloration.
2 grands types
de coupes : les coupes semi–fines et les coupes ultra–fines.
Il effectue soit
des coupes semi–fines (30 à 100 nm), soit des coupes semi–fines (1000 à 2500
nm)
Méthode
directe Méthode
indirecte
= Ac IAIRE =
Immunoglobulines (IgG) spécifiques des antigènes (Ag) recherchés. Ils sont
obtenus après l’immunisation " Immunosérum
polyclonaux ou anticorps monoclonaux (immunosérum = sérum d’un animal immunisé. Il est obtenu
après coagulation du sang)
= Ac IIAIRE = IgG anti IgG
de l’espèce qui a servi pour l’obtention des IgG spécifiques.
= Marqueur
permettant une visualisation des complexes Ag–Ac lors de l’examen
microscopique.
On préfère la
méthode indirecte.
Ils sont obtenus
en injectant un antigène dans un organisme couplé ou non à une protéine
porteuse. L’utilisation d’une protéine porteuse : quand une molécule n’est
pas immunogène chez l’organisme (cad : qui n’entraîne pas de réponse
immunitaire) ou est déjà présente.
Exemple : On obtient
quelques IgG anti BSA mais surtout des IgG anti SP.
On utilise des IgG
provenant de lapin, souris, rat, mouton, cochon d’Inde, poulet, et parfois de
porc.
On utilise des
fragments FAB’2 anti Ac IAIRE :
IgG normal :
=
Fragment FAB’
= Fragment FAB’2
Ils ne sont plus
trop utilisés de nos jours : c’est une technique trop lourde et de pas
bonne résolution. On préfère la radioautographie. Cf poly. Elle est
possible en immunologie pour quantifier un antigène à détecter. Mais on utilise
plutôt la radioautographie (micro– ou macro–radioautographie)
-
Micro–radioautographie :
Cf. poly.
-
Macro–radioautographie : Marquage de ligand " mise en évidence de récepteurs
Marquage de glucose " lors de l’activation d’une cellule, elle
nécessite de l’énergie et donc utilise du glucose. On préfère utiliser du
désoxyglucose qui n’est pas métabolisé " Accumulation.
Þ TEP avec du FDG
(= désoxyglucose marqué au fluor radioactif)
C’est la plus
utilisée. Peroxydase +
Chromogène + H2O2 " Chromogène oxydé + H2O
Exemple de
chromogène : Le DAB,
en présence de peroxydase, se polymérise et forme un précipité brun–marron,
visible en MO et parfois en ME. Il est le chromogène le plus utilisé pour
révéler une activité peroxidasique dans un tissu.
Le 4_chloro_1_naptol forme un
précipité bleu, soluble dans les solvants organiques.
L’AEC forme un précipité rouge.
Les chromogènes
utilisés : BCIP–NBT " précipité
bleu–noir ; BCIP–INT " précipité
rouge.
Problème d’une
expression large dans l’organisme (enzyme endogène) + absence de
révélation dans les neurones ou des cellules gliales.
Le
chromogène : X–Gal (qui est également le substrat) " précipité bleu turquoise.
On utilise une
lampe à mercure qui envoie toutes les longueurs d’onde. Sur le trajet de la
lampe, on place un filtre d’excitation qui va servir à sélectionner la longueur
d’onde correspondant au fluorochrome (= fluorophore) qu’on cherche à exciter.
Composant
fluorescent :
il faut l’exciter pour q’il émette une coloration fluorescente et une longueur
d’onde.
¹ Composant phosphorescent :
il accumule l’énergie.
L’émission
fluorescence se fait à travers d’un filtre d’émission qui ne laisse passer que
la longueur d’onde correspondant au fluorophore.
L’AMCA émet à
400nm ; la fluorexine FITC à 525nm ; la rhodamine TRITC à 650nm.
Il existe 15
fluorophores différents avec différentes longueures d’onde pour l’émission et
l’absorption. Autre exemple : le DAPI (marqueur fluorescent qui
s’intercale dans l’ADN) qui permet un marquage nucléaire bleu.
Les FAB’2 sont marqués de
particules d’or de différents diamètres (1,5nm ; 5 nm ou 10–15 nm) On
préfère des petites particules pour ne pas trop alourdir l’IgG.
Surtout utilisé
en microscopie électronique.
= Technique pour
caractériser des cellules (à l’intérieur du tissu nerveux) en révélant la
présence d’antigènes associées à tel ou tel type cellulaire et dans telle ou
telle région du cerveau.
-
Marquage par
anticorps anti enzyme de synthèse :
Exemple : Les neurones cathécolaminergiques " mise en évidence
de
Les
neurones doraminergiques " TH R ; DBH £ ; PNMT £
Les
neurones noradrénergiques " TH R ; DBH R ; PNMT £
Les
neurones adrénergiques " TH R ; DBH R ; PNMT R
-
Marquage par
anticorps anti protéines de recapture sélectivement associées à la recapture
d’un neurotransmetteur donné.
-
Marquage par
anticorps anti transporteurs vésiculaires pour un neurotransmetteur donné.
On peut
caractériser un neurone par le neurotransmetteur (ou neuropeptide), par
les récepteurs exprimés (cad : les messages qu’il reçoit), par certaines
protéines du cytosquelette, par les canaux ioniques exprimés (propriétés
électrochimiques)
Þ Multiples
immunomarquages pour donner un maximum d’information sur le neurone.
Cf. poly. Utilisation d’un tampon avec du
détergent pour permettre aux anticorps d’accéder aux antigènes tissulaires par
la perméabilisation de la coupe.
Cf. poly. Utilisation de cocktails d’AcIAIRE spécifiques
produits dans des espèces différentes
et d’AcIIAIRE avec des fluorochromes
différents (de préférence produits dans la même espèce)
Cf. poly.
Cf. poly. Toujours
sur tissu fixé.
Cf. poly.
Cf. poly.
Cf. poly.
Cf. poly.
Cf. poly.
Cf. poly.
Cf. poly.
Cf. poly. = Essayer de
détecter les ARNm codant pour une protéine donnée par ADNc, ribosonde, sonde
oligonucléotide marquée. L’hybridation in situ peut être couplée à de
l’immunohistologie (sur tissu fixé)
-
Les
rinçages permettent le retrait d’éventuelles hybridations non spécifiques en
jouant avec la température et la concentration en sels (plus elle est élevée,
plus l’hybridation est favorisée)
-
La
sonde chaude = avec marqueur radioactif (35S_UTP) Elle ne
peut pas être couplée à de l’immunohistologie (déshydratation)
-
La
sonde froide = utilisation d’UTP ou de TTP marqué au digoxygénine ? (UTP*DiG)
D RNAses présentes partout : il faut
tout traiter (vaisselle, ustensiles, …)
Cf. poly. = Révéler la
présence d’une enzyme dans des cellules ou dans un tissu.
Exemples :
Présence d’acétylcholine ? " Anticorps anti
transporteur vésiculaire d’acétylcholine. L’acétylcholine estérase est
traite : elle peut être confondue avec d’autres enzymes.
Cf. poly. Un corps
cellulaire peut avoir 300 000 contacts. On utilise le transport axonal
(neurone vivant) ou d’autres techniques où le neurone peut ne pas être vivant.
-
Injection du
traceur dans la région du soma " transport antérograde jusqu’à la synapse.
-
Injection
du traceur dans la région de la terminaison
" transport rétrograde jusqu’au soma.
Injection
par iontophorèse pour les traceurs ionisé :
(Exemple pour un
traceur chargé négativement)
Couplage
IHC–His " caractérisation des neurones
Cf. poly.
Cf. poly. Il
s’agit souvent de lectines marquées par un fluorochrome qui ne sont pas
trop spécifiques du type de transport ou de microbilles de latex (même
marquage) qui sont spécifiques au transport rétrograde. Ces dernières ont un
autre avantage : elles ne sont pas dégradées par les enzymes cellulaires
(contrairement aux lectines)
Cf. poly.
Cf. poly.
Cf. poly.
Dernières
remarques…
La sérotonine
est le seul neurotransmetteur classique pour lequel on a des anticorps
spécifiques. Les autres sont de petites molécules et sont peu immunogènes.
La mise en
évidence d’un système glutamatinergique " Anticorps anti transporteur vésiculaire.