Structure de la matière
v Constitution
de l’atome :
1808 – Dalton : l’atome est indivisible.
Ø L’électron :
1833 – Faraday : électrolyse ® la quantité de matière est proportionnelle à la quantité
d’électricité.
1879 – Crookes :
(Le
vide est impossible : l’atmosphère est raréfiée
p
» 10-16
atm.)
Conclusion :
rayonnement cathodique.
Conclusion :
pas de la lumière
mais
pas des particule.
1895 – Thomson : le rapport e/m :
B
= champ magnétique dû à un aimant
Tel
que E = – B
§
E et B s’annulent ® pas de
déviation :
FE = E.e FB
= B.e.v v = E/B
§
E seul :
d
= ½.g.t² g
= v² = accélération
F.e
= E.e = m.g t = l/v
d = ½.(E.e/m).( l/v)²
= ½.(E.e/m).( l².B²/E²)
= ½.(e.
l².B²)/(m.E) e/m =
(2.d.E)/(l².B²)
1909 – Millikan : détermination de la charge
d’électron :
e = – 1,602.10–19 Coulomb
me = 9,1.10–31
kg
e et m sont des
caractéristiques indépendantes du métal de la cathode
et
de l’anode, du gaz résiduel.
1909 – Goldstein : expérience de la cathode
creuse :
point
lumineux dû à des particules positives
dont
la masse »
masse de l’atome
et
dont e et m sont dépendantes du gaz résiduel.
M(g)
+ e– = M+(g) + 2 e–
Ø Le
noyau :
e–
®
réaction chimique »
keV (maximum)
noyau ®
réaction chimique »
MeV (minimum)
1909 – Rutherford, Geiger, Mardsen :
expérience de la feuille d’or :
99%
traversent la feuille
1%
est dévié
1/20
000 revient en arrière
Conclusion :
rayon de l’atome = 104 rayon atomique
1918 – Rutherford :
a
® N2 :
particules positive »
moitié d’un atome
=
protons
mp = 1,6725.10–27 kg
1930 – Chadwick :
mn =
1,6748.10–27 kg
Ø Caractéristiques
de l’atome :
AZX A = nombre de masse
Z = numéro atomique
Isotopes : même numéro atomique (Z), mais
nombre de masse différent (A).
Hydrogène : 1H |
1H 2H 3H* |
99,985 % 0,015 % 0,000… % |
Carbone : 6C |
12C 13C 14C* |
98,9 % 1,1 % 0,00… % |
(
* : élément radioactif)
Ø Spectrométrie
de masse (Thomson, Aston, Dempster, Bainbridge) :
Modèle de Bainbridge :
Eléments
à ioniser (gaz)
¯
ionisation
sélection ® filtre de
vitesse E , B v = E/B1
détecteur
(isotope) FB1 = B2.q.v
analyse =
m.v²/r r = rayon de trajectoire
ou
déviation
B2.q
= m.v/r
B2.q
= m.E/(B1.r)
m/q = (B2.B1.r)/E unité de masse atomique = uma
=1/Na
=
1/6,023.10–23 g
=
1,66.10–24 g
v Mécanique
classique :
Ø Energie de
l’électron (Bohr) :
Exemple de l’Hydrogène :
e– x
r ET = EC +
EP
= ½.m.v² + m.g.h
constante
= 0
e– = particule chargée au voisinage
de particules chargées
®
EP = produits des charges/(4.p.e0.distance)
ET = ½.m.v² + e²/(4.p.e0.r)
½Fattraction½= e²/(4.p.e0.r²) ½Fcentrifuge½= m.v²/r
e²/(4.p.e0.r) = m.v²
Quantification de Bohr : m.v.r = n.h/(2p) h = constante de Planck
m².v².r² = n².h²/(4p²) ; v² = n².h²/(4.p².m².r²)
or e²/(4.p.e0.r) = m.v² ; e²/(4.p.e0.r) = n².h².m/(4.p².m².r²)
e²/e0
= n².h²/(p.m.r) ;
r = n².h².e0/(p.m.e²)
comme ET
= – e²/(8.p.e0.r) ; ET = – e².p.m.e²/(8.p.e0².n².h²)
ET = EN = – m.e4/(8.e0².n².h²)
Energie :
– 0 = E∞
r1
– E4 = E3/16
+e – E3 = E2/9
r2 – E2 = E1/4
–
E1 = état fondamental
r3
Ø Séries de
raies de Balmer :
∞
E5
E4
Série de Paschen
« retour sur E3 » (820,6 – 1875,6 nm)
E3
Série de Balmer
E2 « retour sur E2 » (364,7 – 656,4 nm)
« retour sur E1 » (91,2 – 121,5 nm)
E1
Relation empirique : 1/l = RH (1/n1²
– 1/n2²) avec la constante de Rydberg RH = 1,09.107
m–1
E = h.v = h.c/l
= m.e4/(8.e0².h²)
(1/n1² – 1/n2²) RH = m.e4/(8.
e0².h²)
Ø Insuffisance
de la théorie de Bohr :
1924 – De Broglie : dualité onde –
corpuscule : l = h/(m.v)
1927 – Davisson, Germer : Diffraction
électronique :
e–
à la longueur d’onde l pas un mouvement sphérique
mais trigonométrique
pas
m.v.r = n.h/(2.p) mais n.l = 2.p.r
q
cristal de Nickel
Principe
d’incertitude d’Heisenberg : D(m.vx)
Dx ³ h/(2p)
Ø Equation
de Schrödinger, 1926 :
H.y = E.y H : opérateur ; y :
fonction ; E : scalaire (=constante)
Si H.y
= E.y ; alors y :
fonction propre de H et E : valeur propre de y.
Exemples :
-
d/dx a.xn = na.xn–1
= (n/x) xn (n/x) n’est
pas un scalaire.
-
d/dx
sin(ax) = a.cos(x) sin(x)
¹ cos(x)
-
d²/dx² sin(ax) = –a².sin(ax) sin(ax) = fonction propre ; –a²
= valeur propre
H représente l’énergie totale du corpuscule en
mouvement.
E représente l’énergie quantifiée du corpuscule
en mouvement.
y
représente la fonction d’onde du corpuscule en mouvement (fonction
trigonométrique).
H = Ec + Ep
= –
h²/(8.p².m) (d²/dx² + d²/dy² + d²/dz²) – e²/(8.p.e0.r)
pour
Hydrogène
y²
= probabilité de présence du corpuscule en un point de l’espace.
proba.
max
a0
Orbitale
a0 r (distance au noyau)
v Structure
de la matière :
Ø Nombres
quantique :
§
Le nombre quantique principal, n,
quantifie l’énergie (n Î
N)
§
Le nombre quantique secondaire (=
azimutal), l, quantifie le moment cinétique (l Î
N*)
0 £ l £ n–1
§
Le nombre quantique magnétique, m (m Î Z) – l £
m £ + l £ n–1
§
Le nombre de spin (to spin = tourner) S = ±
½
|
N |
L |
m |
Nom de l’orbitale |
Nbr.
max d’e– |
l
= 0 ®
s |
1 |
0 |
0 |
1s |
2 |
l
= 1 ®
p |
2 |
0 1 |
0 –1,
0, 1 |
2s 2p |
2 6 |
l
= 2 ®
d |
3 |
0 1 2 |
0 –1,
0, 1 –2,
–1, 0, 1, 2 |
3s 3p 3d |
2 6 10 |
l
= 3 ®
f |
4 |
0 1 2 3 |
0 –1,
0, 1 –2,
–1, 0, 1, 2 –3,
–2, –1, 0, 1, 2, 3 |
4s 4p 4d 4f |
2 6 10 14 |
v Structure
électronique des atomes :
Ø Règle de
remplissage :
§
Principe d’exclusion de Pauli :
2e– d’un même atome ont les 4 même
nombres atomiques.
§
Règle de Hund :
S’il y a plusieurs orbitales de même
énergie : on place 1e– par orbitale de spin parallèle.
Case quantique : ¯ 2e– de spin opposé = électrons
appariés = paire d’électrons
Exemple : sous-couche
p : électrons célibataires
§
Règle de Kleichkowski : ordre de stabilité des
orbitales :
7s |
… |
… |
… |
6s |
6p |
… |
… |
5s |
5p |
5d |
5f |
4s |
4p |
4d |
4f |
3s |
3p |
3d |
|
2s |
2p |
|
|
1s |
|
|
|
v Classification
des éléments :
Ø Historique :
1817 – Dobereiner : classification par
propriétés chimiques et physiques.
3 groupes : Li, Na, K
Ca,
Sr, Ba
Cl,
Br, I
1869 – 1871 – Mendéléiev : classification
par masse croissante
quelques inversions ont été effectuées à cause
de propriétés chimiques ressemblantes.
Il a laissé des cases vides en prévision de découvertes d’autres éléments aux
propriétés prédites
(1875 : Gallium)
Ø Tableau
périodique :
e– célibataire = e–
susceptible de participer aux liaisons (»
structure externe électronique)
e– appariés = e–
susceptible (…) dans le sens où ils contribuent à la forme géométrique de
l’atome.
Exemple : l’air : N2
O2
H2 : très peu, sinon il réagirait avec l’O2 et
créerait une explosion
CO2 : moins que l’Ar, pourtant plus réactif
(effet de serre)
Ø Evolution
des propriétés :
§
Energie d’ionisation (EI) :
énergie (en eV) à fournir pour arracher des électrons.
X ® X+
+ e–
§
Affinité électronique (AE) :
aptitude d’un atome isolé à attirer
les électrons.
X– ® X + e– (AE > 0)
§
Electronégativité (EN) : aptitude d’un
atome lié (= engagé dans une molécule) à attirer les électrons.
·
Echelle de Millikan :
EN = (EI + AE)/2 mais problème pour obtenir AE
·
Echelle de Pauling :
A – A
A – D ® tableau
A – E
·
Echelle d’Albred – Rochow :
généralisation de la théorie de Bohr :
-
Pour H :
EN = – m.e4/(8.e0².h²)
-
Pour les ions hydrogénoïdes : EN = – m.e4.Z²/(8.e0².h²)
Exemple :
2He+, 3Li2+, 4Be3+,
6C5+, etc.
-
Cas général :
x x EN = – m.e4.Zeff²/(8.e0².h²)
Zeff x
x
x Problème :
Z est une charge ponctuelle, mais Zeff ne l’est plus.
x x
x (la charge des électrons fait écran à celle
de l’atome)
x ® constante d’écran : s Zeff = Z – s
On suppose ainsi Zeff comme étant ponctuelle.
EN = 0,359.(Zeff/R²) + 0,744 (coefficients pour coller avec
Pauling)
Groupe
Période Non métaux
Métaux électronégatifs
EI électropositifs
AE
EN
ENmétaux
< ENH < ENnon métaux
v Les
orbitales :
Ø Les
orbitales atomiques :
P : 3 en
« 8 » (px, py, pz)
j = L C A O (Linear Combination of Atomic Orbital)
Y = L C A M (Linear Combination of Atomic Molécular)
liaison hydrogène : HA – HB Y = cA.
jA
+ cB. jB.
H.
Y = E. Y ®
E = f(cA, cB)
§
Méthode des variations ou méthode des permutations :
cA et cB considérés comme
des variables.
Dérivation de l’énergie par rapport à cA
et cB.
dE/dcA et dE/dcB ® trouver où
elles s’annulent.
L’énergie s’annule à :
-
cA = cB Y+
= cA.( jA
+ jB
)
-
cA = – cB Y–
= cA.( jA
– jB
)
§
Normalisation (=normation) de la fonction :
Probabilité de présence : (dans C) ò Y.Y* dt
(dans
R) ò Y² dt
dans
l’espace : ò¥ Y.Y* dt = 1
-
cA = cB
® ò¥ Y+² dt = cA². ò¥ ( jA + jB )² dt
= cA². [
ò¥ jA²
dt + ò¥ (jA+jB)
dt + ò¥ (jA+jB)
dt + ò¥ jB²
dt ]
= 1
= S = S = 1
cA².
( 2S + 2 ) = 1 avec
S :
l’intégrale de recouvrement ( 0 < S < 1 )
-
cA = – cB
® ò¥ Y–² dt = cA². ò¥ ( jA – jB )² dt
= cA². [
ò¥ jA²
dt – ò¥ (jA+jB)
dt – ò¥ (jA+jB)
dt + ò¥ jB²
dt ]
= 1
= S = S = 1
cA².
(–2S + 2 ) = 1
-
ò¥ Y.H.Y* dt = E. ò¥ Y.Y* dt
® E+ = ò¥
Y+.H.Y+
dt
= cA². [
ò¥
jA.H.
jA
dt + ò¥
(jA.H.jB)
dt + ò¥
(jA.H.jB)
dt + ò¥
jB.H.
jB
dt ]
=
a = b = b = a
= cA² ( a + b + a + b )
= 2. cA² ( a + b ) avec a : l’énergie de
l’électron dans l’atome (
a < 0 )
b : l’intégrale de
résonance (= énergie)
(
b < 0 )
-
cA = cB
Y+
= cA.( jA
+ jB
) cA² = 1/[2.(1+
S)]
E+ = (a + b)/(1+ S) a + b < a E+ < a
-
cA = – cB
Y–
= cA.( jA
– jB
) cA² = 1/[2.(1–
S)]
E– = (a – b)/(1– S) a – b > a E– > a
Ø Les orbitales moléculaires :
Ø Diagramme d’énergie d’OM :
-
-
-
-
-
-
§
Ordre de liaison (OL) :
OL
= (nbre d’électrons dans les orbitales liantes) – (nbre
d’électrons dans les orbitales anti-liantes) /2
2p :
x x
z z recouvrement axiale s
y y
recouvrement latéral p
v Liaison
covalente (notation de Lewis) :
Ø Caractéristiques :
-
D
EN faible,
-
mise en commun d’électron(s),
-
maximum de probabilité
de présence d’un électron entre les 2 noyaux,
-
liaison dirigée.
d+ d–
A
– A A – B
Covalence Covalence
pure dominante
§
Liaisons simples ou multiples :
Exemples : éthylène (C2H4) acétylène (C2H2)
H H
C C H C C H
H H
§
Liaison dative :
Exemple : POCl3
Cl
O P Cl
Cl
Ø Géométrie
spatiale :
§
Théorie de l’hybridation (Pauling) :
Hybridation
d’orbitales : nOA ® nOH
(nbre
de liaisons s)
+ (nbre de paires libres) = nOH
Orbitale p : la liaison p n’est pas hybridable.
Utile pour les composés organiques :
-
connaissance de l’origine des liaisons p
-
doubles liaisons conjuguées (séparées par
une liaison simple)
® délocalisation
des liaisons p :
stabilisation Benzène
§
Théorie de Gillespie :
= Valence Shell Electron Pairs Repulsion = Théorie de la
répulsion.
En :
paires libres
Utile pour les complexes métalliques :
-
connaissance des angles
-
paire
libre : angle < angle théorique
Baisse
de l’EN de l’atome central Diminution
de l’angle
Baisse
de l’EN des ligands
§
Moment dipolaire (liaison polarité) :
Moment dipolaire = m = q.d avec q : charge
d :
longueur de la liaison
® mesurable avec
un dipôlemètre (en Debye, D)
% de caractère ionique = (mréel
/ mthéorique)
. 100
v Liaison
ionique :
Ø Caractéristiques :
-
D
EN forte,
-
transfert d’électron(s),
-
minimum de probabilité de présence d’un
électron entre les 2 noyaux,
-
coordinence
= nombre d’ions tangents.
d+ d–
Ionique A+ – B–
Ionique A – B
pur dominant
Ø Arrangements
ioniques : disposition des ions dans le réseau cristallin :
Maille élémentaire : la plus petite
partie qui résume le réseau cristallin.
§
Réseau
cristallin cubique :
·
Système Cubique à Faces Centrées :
NaCl : 11Na :
1s2 2s2 2p6 3s1 ® Na+
17Cl :
1s2 2s2 2p6 3s2
3p5 ® Cl–
centre des faces (6)
Na+ : milieu des arêtes (12)
centre du cube (1)
Coordinence de Na+ = 6
Coordinence de Cl– = 6
Coordinence
de NaCl = 6 – 6
Limite du Rcation
/ Ranion = RC / RA :
(plan
où les anions et les cations sont tangents)
Egalité : a = 2 (RC + RA)
a aÖ2 = 2.Ö2 (RC
+ RA)
aÖ2
Inégalité : aÖ2 ³ 4 RA
®
2.Ö2 (RC + RA)/RA ³ 4 (RA/RA) Ö2
®
(RC/RA) + 1 ³ Ö2
®
RC/RA ³ Ö2 – 1 » 0,414
·
Système Cubique Centré :
CsCl ® Cl– + Cs+
Cl– : sommets du cube (8)
Cs+ : centre du cube (1)
aÖ3
a Egalité : aÖ3 = 2 (RC + RA)
aÖ2 Inégalité : aÖ3 ³ 2Ö3 RA
®
2 (RC
+ RA)/RA ³
2 (RA/RA) Ö3
®
(RC/RA) + 1 ³ Ö3
®
RC/RA ³ Ö3 – 1 » 0,732
·
Structure de la Blende :
ZnS ® S 2– + 2 Zn+
(inversion cations/anions impossible)
Cube (a/2) = b : pas une
maille élémentaire.
Egalité : bÖ3 = 2 ( RC + RA )
Inégalité : bÖ2 ³ 2 RA
b bÖ3 ® 2 ( RC
+ RA ) Ö2 / (RA.Ö2) ³ 2 RA.Ö3 / (RA.Ö2)
bÖ2 ® (RC/RA ) + 1 ³ Ö3 /Ö2
®
(RC/RA ) ³ (Ö3 /Ö2) – 1 » 0,225
OU :
·
Structure
de la Fluorine :
CaF2 ® Ca 2+ + F –
Cube (a/2) = b :
pas une maille élémentaire.
Idem que pour un Système Cubique Centré
Ø Cohésion
cristalline :
§
cycle de Born Haber :
Na(S) + ( ½) Cl2 ® DH formation (perte
d’énergie) ® NaCl (CRISTAL)
– 411
Energie de Energie de Energie réticulaire
+ 108 moléculaire Cl(G) – AE Cl –
+ 226
/ 2 – (+348)
Na(G) EI + Na+
+ 495
Méthode directe = méthode indirecte
v Les
métaux :
Ø Caractéristiques :
-
solides (sauf le Mercure, Hg)
-
éclat métallique
-
conducteurs d’électricité et de chaleur
(électrons libres)
-
malléables, ductiles
Ø Empilements
métalliques :
Alternance de
couches :
A – A
A – C
=
Hexagonal Compact =
Cubique à Faces Centrées
Compacité : (Volume des atomes) / (Volume total)
Coordinence :
12
aÖ2 = 4 R ® R = aÖ2 /4
C = (¾).p.R3.4 / a3 = (¾).p.(aÖ2 /4)3.4
/ a3
= (4/3).p.(a3(2Ö2)/43).4 / a3
= pÖ2 / 6 » 0,74
Ø Empilement
semi-compact :
aÖ3 = 8 R ® R = aÖ3 /8
C = (¾).p.R3.4 / a3 = (¾).p.(aÖ3 /8)3.2
/ a3
= (4/3).p.(a3(3Ö3)/83).4 / a3
= pÖ3 / 8 » 0,68
v Liaisons
faibles :
Ø Liaisons
hydrogènes :
-
H suffisamment d+
-
Yd– :
petit électronégatif Y = F, O, N
-
Distance convenable (10 à 20 nm)
Xd– – Hd+
…… Yd– ® électrostaticité
Liaison intra moléculaire Liaison intermoléculaire
Autres exemples :
-
NH
– CH(CO) – R R = NH2 ;
OH ; COOH
-
Les sucres : – OH
-
L’ADN
Ø Autres
liaisons faibles (quelques kJ.mol–1) de Van de Waals :
§
Liaison de Keesom :
Dipôle permanent : Ad+
– Bd– …… Ad+
– Bd–
(exemple de la cristallisation du CO)
§
Liaison de Debye : d+ d–
Dipôle permanent – induit : Ad+ – Bd–
…… C – C
Induit
(exemple des cristallisations d’hydrates
de gaz nobles du CH4)
§
Liaison de London : d+ d–
Instantané
(exemple de la cristallisation de I2)
v Isomérie :
§
Au sens large, (même formule
brute) :
-
isomérie de fonction (alcool, ester, etc)
-
isomérie de chaîne
-
isomérie de position (ramification)
§
Au sens restreint, (même formule
semi-développée) :
-
Connaissance de la fonction et de
l’organisation entre eux.
-
Ignorance de l’organisation
(=disposition) spatiale.
® Stéréo-isomérie (=
stéréochimie) : connaissance de la disposition spatiale.
Ø Stéréochimie des
doubles liaisons (= Isomérie géométrique) :
C
= C C
= N C
= O
§
Double liaison Carbone – Carbone :
1 3 1 4 rupture
de liaison
C = C C
= C ®
reconfiguration
2 4 2 3 (¹ de
conformation
Zusammen (= Cis) Entgegen
(= Trans) =
rotation de liaison)
® règles de priorité (ou règles C.I.P.)
§
Double liaison Carbone – Azote :
1 3 1
C = N C
= N
2 2
3
Zusammen (= Cis) Entgegen
(= Trans)
Ø Carbone
asymétrique (= Isomérie optique) :
Hybridation sp3 = carbone tétraédrique & 4 éléments différents.
1 1
Images
l’un de l’autre
C* C* = énantiomères
4 4
3
2 2
3
miroir
Isomérie optique : le plan de la lumière
polarisée est changé.
(® inverses ou
antipodes optiques)
§
Polarimétrie :
Dextrogyre Lévogyre
= nomenclature utilisée en fonction de la
déviation de la lumière (angle)
§
Configuration absolue :
= règle de priorité :
On regarde l’ordre des 3 premiers composés
prioritaires.
1 1
C* C*
4 4
3 2 2 3
Rectus Sinister
Exemple :
CH3
– CH2 – C*HOH – CH2
– NH2
H
C*
CH3 – CH2
OH
CH2 – NH2